VEF Blog

Je fais des recherches sur "la séparation" comme si l'eut s'agit d'un exercice. Je lis, j'assimile, je recoupe les données... encore et encore, toujours avec cette même soif de compréhension, comme pour percer un secret et donner LA clef d'interprétation ultime, la totale maîtrise du sujet, le contrôle de ce qui m'arrive et de ce qui arrivera.

Au hasard des articles, je trouve des similitudes frappantes avec ma situation. Je me sens moins seule, mon cerveau prend le relai et me fait dire que le moment n'est pas si dramatique et que la solution au problème est en définitive simple et peut être patiemment planifiée jusqu'à l'éradication du trouble.

Naît de ces conclusions un sentiment de toute puissance : par la compréhension du problème, je me délivre des entraves que celui-ci créait et qui m'empêchait d'avancer. Je me décentre de ce qui constituait le point d'ancrage de mon mal-être. J'agis, l'être d'actions que je suis est à nouveau dans le mouvement qui l'apaise, là où semble résider sa force et sa chance de renouveau.

Problème : la décision semblait ferme, le plan parfait, s'en mêle alors l'incompressible : L'IRRATIONNEL et ces coups de tête et de gueule aussi brusques qu'éphémères. Et merde! L'ordre et la discipline, l'action si bien menée, pleine d'espoir en des lendemains qui chantent foire! Des questions restées sans réponse surgissent et martèlent. Leur trouver des réponses devient important, vital. Peu importe le moyen pour les obtenir, on les veux, les exige.